sa réponse… forte et percutante…

Ma femme, j’en mangerais encore du pain rassis avant que mon amour ne tombe en désuétude de toi,,,

 

Mais la prochaine fois, dis moi, hurle moi, griffe moi,, mais ne m’oublie pas ainsi sur l’Autel de nos violences,,,

 

Je suis doux et pacifique certes, mais j’ai besoin de toi pour le rester amour,,, J’ai besoin d’avis qui ne soit point déclin, d’échanges qui ne soient pas sourds, d’amour qui ne soit absent, de conseils qui ne soit pas maternels.

 

J’ai besoin de toi comme femme, égale en mon amour comme en mon respect, mais auprès de moi; puisses tu me cracher au visage que je t’aimerais encore, mais alors je veux que tu le fasse honnêtement, en pleine accord de toi envers moi, je t’accepte fautive comme tu m’acceptes faible; mais je ne te veux pas étrangère ou vorace,,, Jamais,,, je me suis senti très seul.

 

Et après l’amour, le réconfort, la joie et le bonheur que nous nous sommes donnés; je me suis retrouvé là, réellement, de nouveau, nomade, sans boussole affective, je ne veux plus que tu me manques,,,

 

Je te pardonne amour, mais ne t’éloignes plus de moi,,,

 

Couvre moi de mots durs à entendre, de reproches s’ils sont justifiés, mais ne sois plus étrangère, dis moi tes souffrances, ne me laisse pas seul sur le balcon,,,