chant du monde…

« … Ce qu’il faudrait, c’est mettre l’homme à sa place, [dans les livres ] ne pas le faire le centre de tout, être assez humble pour s’apercevoir qu’une montagne existe non seulement comme hauteur et largeur, mais comme poids, effluves, gestes, puissance d’envoûtement, paroles, sympathie. »

Jean Giono