fausse ère

 

Les issues retournées, toutes les visions se vrillent dans l’iris. La spirale impose le bout de sa patère, je n’y suis pour personne, encore moins pour moi. Mes os flânent, mes réalités gambadent, quant à mes chairs, surexposées ou enfermées, elles puent la léthargie. Je brasse mes viscères, imbibée de chocolat amer et de mélasse gluante. Rien n’arrive à guider le layon.

 

Mais Lui, y est, dans son vrai, son bon, et il m’écrit ces « ça » qui me donnent le là.

 

 « « « Il fallait que je te dise,,,

 

 Que je suis encore et toujours là, mieux et plus qu’avant sans doute; que je ne vois que toi dans mes désirs d’amours, que notre intimité et nos proximités me comblent de joie et d’amour, chaque jour, humblement et pourtant superbement; que quoi qu’il se produise, dans nos vies respectives, dans celle découlant de ces deux premières, dans notre vie donc, la nôtre de vie, qui est à nous, que quoi qu’il se produise, je suis heureux, et que je vis sans peurs ni plaintes depuis toi, sans regrets ni douleurs.

 

Il faut que je te dise pour que tu le saches, je t’aime, et tu es la plus essentielle à ma vie,,,

 

Ton homme,,, » » »

 

Heureusement que je sais que qu’il y a un vrai parmi les faux.