
on ne dit jamais assez merci aux choses mortes, égorgées sur le gibet de l’orgueil, entassées sous l’échafaud égotique, enterrées dans la tourbe de la chair pensante et éclatante. on ne dit jamais assez merci aux morts pour la place qu’ils laissent, froide comme l’échange ou chaude comme l’envie, c’est selon la vérité du départ.
