Je pense à toi comme à la Lune, c’est à dire, à chaque perlée de suée ou de sang.
Je pense à toi comme à celles qui enfantent dans la douleur, la douceur et qui font une pâte à sel des deux.
Je pense à toi comme la première fois 35 years ago, entre une blouse verte et un absent blanc.
Le lyrisme n’a pas ton odeur, le classicisme non plus, restons-en là (je m’épanche curieusement) mais saches que le tuyau ou le cordon qui font de toi ce lien indéfectible, lointain mais prégnant, je les respecte à présent, comme pour à mon tour, connaître le fil d’Ariane qui lie (lit?) la vie à l’amour.
Et puisque toute histoire d’amour débute et se termine en musique… http://www.youtube.com/watch?v=UpQ6OESv24A
(sur la pic, c’est moi qui te regarde, fièrotte)

