des pouces lever à chaque bonjour, comme un optimisme de résistant
des « fantômes » silencieux et des ombres criantes
des restes des 27 ans de guerre civile, des bâtiments criblés
un désir d’expression très fort de la part des angolais
des écarts économiques criants
des moustiques qui disent bonjour de leur petite trompe malarianne
des visages ne se ressemblent pas, mixité déroutante
des institutions zélées au désordre et à la hiérarchie nous poussant à l’improvisation et l’adaptation quotidiennes
des conditions roots mais joyeusement hippies aussi
la langue portugaise qui me séduit dans la rue et dans les voix rauques des rockeurs que nous rencontrons
mes yeux et mes sens surchargés
des ciels pour se noyer
…
ci joint, qq captures d’ecran aléatoires du tournage et qq photos (si peu de temps pour capter tt ce qui im pressione)
