il y avait une piscine à traverser avec un billot d’arbre sur le crâne, le nez au dessous de la surface.
il y avait deux camions m’écrasant entre leurs faciès d’acier jusqu’à ce que corps soit fin.
il y avait une corde tendue entre deux morceaux de banquise fondue, une loupe pour dissimuler l’impatience.
il y avait un cadre de bois dans lequel mon visage avait été clouté afin que mes joues et mes cheveux ne dépassent pas.
et tout ça avait l’air normal, évidemment.