le refus n’est pas une absence, lui ai-je dit, entre deux égarements.
les NONs que j’énonce sont minuscules, jamais résolus et bien souvent applatis, mal ciblés (sauf un ou deux qui traînent encore, avec leurs traces de force dans l’intention).
mes OUIs, eux, sont tout autant fébriles, visuels presque transparents (je repense à un OUI qui me vaut encore des dettes).
il faut un mot entre les deux, pas PEUT-ÊTRE qui énonce le désir, ni MOYEN ou MILIEU qui font merdes humides… un mot serrure et fenêtre entre deux chaises, genre BAYROU mais en moins cul-terreux.