le sang coule dans la culotte, parait que la femme souffre pour que l’homme naisse… équation sacrée, cérébrale et sans objet.

vivement que le nucléaire et l’effet de serre nous retirent nos ovaires

pour qu’on se rappelle à la nécessité de protection, d’horizon, de prévenance.

 

je suis dans la leçon en ce moment, une vieille tension dictatoriale du savoir à tout pris, je me trompe sûrement sur le langage, voire sur mes jurons, mes doutes, mais qu’est ce que j’aimerais qu’on me réapprenne les bonnes manières comme au début… avec rien derrière moi et tout devant, les bras dans le vide, pas de fardeaux dans le dos.

 

Tout ceci est impossible, disent les observateurs, il y a une vachette dans l’arène, je répète, il ya une vachette dans l’arène, donc pas la peine de se faire encorner en pensant faire la planche dans un repaire de requins.

 

Je suis une gaminepeste de 100 kilos avec un cerveau relié aux ventres.