Ma Vaginite, tu veux
que
le limon blanc, en corps,
nous féconde, fines Moires cinglées d’athanors.
Ma Vaginite, tu crois
que
notre phare polyandrique de chlore,
nous accomplira, suceuses d’enclâves à l’Aurore.
Ma Vaginite, tu sais
que
leurs sexes en amphores
nous donnent des visions de temples d’Angkor.
Ma Vaginite, je ne suis
qu’
un sort, noyé dans un ruisseau omnivore,
crachant l’haleine chargée d’un minuscule centaure.
Mais où est donc Or…?