(C)on me dit dans l’oreillette (de cochon) que ce blog ne parle pas assez d’animaux, d’écologie, ni des problèmes socio-économico-politiques qui rapellent au monde qu’il est monde, alors pour remédier à ce manque impardonnable (méat culpa), et autoriser le lambda à se retrouver parmi moi, commençons par ces quelques images qui revendiquent une nature qui rassure, qui s’assume…
(nous remercions ici vivement l’ami combattant du collectif technique de progrès):