ce matin, l’entrejambe sent l’abricot, au delà de l’imagerie lolitaïde, me voici rajeunie, en proie à la jeunesse.. pas encore l’ivresse, pas encore la joie, loin de moi, mais une forme de déconvenance, d’indécence assumée… comme si une adolescente m’avait violée sous un drap rose.
Je porte soie, monoï, noir et foi.
(dommage que les poils repoussent toujours)