c’est la première fois que je ne m’en fous pas totalement,
considérant que j’ai souvent été peu nihiliste, finalement.
lasse, je m’étale.
je cherche entre les plis, les tissus, les remous, les trous,
les pliures, la position qui ressemble le plus à celle du réveil.
c’est là, entre la gêne et le sommeil que je sens mon corps global,
lourd, affirmé et bien sûr, aussi fragile que confortable.
il y a peu de secret dans le regard, c’est dans la veine que le mystère loge, quand elle frappe et que le sang fait écho. c’est exactement ça que je cherche quand je regarde. c’est exactement ça que je ne trouve pas.
eclosion dans nos nuits…
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