il y a quelque chose dans nos étreintes qui me retire du monde, quelque chose qui pourrait m’en protéger mais qui ne rappelle pourtant pas le danger. Chaque enlacement, chaque nuque à cou, chaque étendue de nos dermes apposés impose la loi d’un repos, d’un calme qui va de dehors à dedans, profond dedans. il y a eu peu de corps qui me soit si familier et étranger en même temps, car je sais, tu sais, que tu es exactement autre et exactement mien.