une odeur de cuivre.
radicaux libres.
aucune notion sans colère.
hermétisme des mots qui ne disent pas qui est la bouche.
dans le lit, les sillons creusent.
plus d’eau au bord des crevasses.
besoin d’écrire sur la fenêtre.
les phrases sans verbe sans verve.
rage du silence qui n’a pas dit son dernier mot.
habituelle rengaine d’être au coeur du cyclone, l’oeil crevé.
la beauté et la lumière et la nature, tout ça, bof.
disque enrayé, moteur flou.
au fond, un chant épuisé qui souffle un chardon.
encore des punaises à retirer du plafond et un rituel à divulguer.
ruines, je vous reconnais. et vous aime, aussi.
douceurs entendues, je ne vous crois plus mais je vous prends contre mes seins, pour jouer au feu de l’instant.
douceurs, vous me faites attendre.