Après consultation arachnéïde sur la Grande Toile, il s’avère que le portrait de la femme mystère à laquelle je ressemblerais et dont je serais la réincarnation (voir article précédent) n’est pas une vedette gothique du cinéma muet mais une cantatrice lyrique (de l’art musical non pas de la poésie champêtre) et qu’elle ne porte non pas un nom aussi érotico-exotique de Theda Bara mais bien plus aveyronnais, c’est à écrire, Emma Calvé… sur laquelle les choses les plus « incroyables » furent écrites…
bon, donc, plutôt que porter le karma d’une vamp’ gothico-éphémère, je me retrouve (peut-être) avec celui d’une châtelaine esotérico-lesbienne, disciple d’hindouisme, d’occultisme et d’anarchisme, proche d’ Alphonse Mucha et Stéphane Mallarmé!
Finalement, je ne suis pas déçue de l’écart.