Et les chevaux, hors d’haleine, tentaient de rattraper le temps, pressés par une vague démesurée de sables brûlants, ils galopaient sans jamais comprendre qu’ils étaient de bois, tout brutalement attachés à un manège sans attente… condamnés mais fous, ils couraient sans regarder en bas, des fois qu’ils discernent leurs clous.
formes et couleurs,j’aime!
bon we
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les 88 miles à l’heure, alors ils pouront retourner dans le futur 😉
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