Oeil pour Deuil

Thierry Van Hasselt sardinfortemps

un soir, viendront les tempos de la fermeture définitive… c’est alors de ton regard dont on se souviendra, rien par contre de ton oeil vif ou du reflet de la lampe de poche, non, pas d’effets spéciaux au royaume du ressenti (alors que le souvenir, avec sa petite valise, lui, il se fait péter la gueule par les feux d’artifice!)

Alors, tu m’ouvres?