les mains au cul (inconnues) sont un réflexe, à donner et à recevoir. on connait la facilité du geste, moins les plaies que la main acquiert en répétant l’indécence et encore moins, finalement, les ouvertures virulentes que le cul endosse.
l’histoire de l’oeil me fait peur, récit de vie étrange entre tapage diurne et ratage nocturne. je voudrais parfois recouvrer la vue comme après mille cataractes, mais que le monde soit à chaque fois changé, moins flou, plus confortable.
c’est cette histoire de sang que je tente d’écrire depuis deux ans. à chaque période de ménorrhées, je cours vers la page blanche, je confonds tache et lettre. je mets tout sur une feuille de sphaigne et laisse reposer, coaguler. et je m’aperçois toujours trop tard qu’après quelques jours, il n’est question que de rejets.
vivement le retour de couche.