ce moment de servitude
où les images appellent le corps
celui-celle qui attise la braise
dévoile ainsi son incommensurable manque
et celui-celle qui regarde, observe, commente, aime, dévoile à son tour l’incommensurable manque.
les âmes sont vives, violentes, stupides et mensongères, elles invitent celui-celle qui retient tout dans son corps, par habitude, par décret, par pacte intestin, à ne plus être celui-celle qu’il-elle croit mais celui-celle qu’il-elle sait.
un apprentissage de l’acier, du bois flottant, de l’éther.
Surtout après, il faudrait que la permission reste ouverte et qu’elle ne soit pas recouverte par une plaque d’égout, surnom le plus au sol de la peur.