Laurence a lu mon poème dans une forme inédite.
J’ai été émue par sa mise en profondeur, la naissance de la répétition autrement que quand je le lis.
Aussi, elle a revisité vertueusement ce texte qui a muté plusieurs fois.
C’était bon d’entendre cet appel à la rue alors qu’elle est vidée de substances et de corps pour le moment.
Laurence Vielle lit à travers un filtre qui n’est qu’elle. Je la reconnais et la découvre à chaque fois. Merci à Elle et à l’espace de Poésie que MusiQ3 a ouvert chaque jour.
Et hier, c’était Carl Norac, le poète national actuel. (D’ailleurs, Carl a planté un jardin du souvenir numérique: http://www.poetenational.be/fleurs-de-funerailles/ – DES POÈTES.ses BELGES S’UNISSENT POUR ÉCRIRE DES POÈMES FUNÉRAIRES EN CETTE PÉRIODE DE CRISE)
Et demain, accrochez-vous à la page et écoutez.