Sur l’invitation de Laure et Pierre, les profs de l’atelier Typographie de la haute école de la Cambre, j’ai rencontré les étudiant=e.s en Master 2 et répondu à des demandes d’écrire leurs projets, leurs positionnements au milieu des « ruines » du monde, ruines encore vivaces, habitées et pleines d’espoirs. Encovidé=e.s mais en paroles et textes, nous avons élaboré des réponses, à travers des jeux d’écritures, des pratiques de déplacement pour revoir ensemble les regards portés sur les projets qu’iels ont présentés lors des portes ouvertes le week-end du printemps 2021.

Voici quelques étapes en vrac et des intentions que nous avons traversées, ici.
Ainsi, après que les étudiant=e.s aient affranchi quelques doutes, aplati quelques craintes, soumis quelques textes, Laure, Pierre et moi avons aussi écrit, réfléchi à une sorte de charte non-exhaustive de comment sauver un monde avec la typographie. Cet atelier nous a mené à raconter des histoires, assumé un récit qui tend à dire ce qu’on peut faire dans un atelier typo sans figer, sans frigorifier le savoir.

C’était bien. Merci à chacun.e.